Le Stand Up Paddle Board, SUP présente l'avantage considérable de pouvoir se pratiquer aussi bien en rivières que en mer. Il ne nécessite pas de grosses vagues et, au contraire du surf ou windsurf qui sont des sports plutôt individuels, permet de partager des moments de vraie convivialité : une balade en SUP sur le Rhône entre amis est un excellent moyen de conjuguer sport et détente.
Le SUP se pratique donc partout en France de l'Alsace où clairement la vague ne nécessitera pas un nievau de haute compétition, jusqu'aux Landes et ses grosses vagues qui s'adressent à des "super" de meilleur niveau.
Quelques conseils avant l'effort
Comme tous les sports, le paddle exige une mise en condition préalable, ne serait-ce que dans la mesure où, ne surfant pas toujours en été ou dans de l'eau à 25 degrés, il est nécessaire de s'échauffer et de préparer son corps à l'effort qu'il va faire.
Des étirements sont donc conseillés, et des mouvements d'épaule, similaires à ceux que l'on fait pour crawler. Rotations des cervicales et petit sprint d'échauffement sont aussi de bons exercices. Il faut travailler tous les axes du corps qui seront sollicités pendant la session.
On commence la session "soft". Pas de coups brutaux de rame, on part doucement...Debout au début. Après quelques minutes, c'est bon, on peut se lancer. Evidemment ce passage en douceur n'est pas toujours très réalisable, si d'entrée, il faut passer une barre de vagues en pouusant la planche !
Les sessions ne doivent pas excéder 2 heures et pendant la pause, il ne faut pas hesiter à recommencer à s'étirer pour se détendre et pour en pas laisser les muscles se refroidir.
Boire est aussi un impératif, même si la soif ne se fait pas sentir : une bonne hydratation va éviter ainsi les crampes et apporte à l'organisme fatigué des minéraux nécessaires à une bonne récupération.
Marie-George Clouet
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